samedi 25 février 2012

au voleur!!!

Aujourd’hui dernier jour à Buenos Aires. Pas question de quitter la ville sans aller jeter un œil dans le métro de la capitale datant de 1913, et qui ravie encore ses citadins par la beauté de certaines de ses stations, décorées de fresques de carrelage fait main, ainsi que de rouler encore avec ses quelques derniers wagons en bois sur la première ligne en construction.
Nous avons été enchantées du voyage. Nous décidâmes de sortir du métro afin de nous promener vers le port. A peine sortie, nous recevons dans notre dos une énorme giclée de mélasse, alors que je me dirigeais vers un monsieur pour demander notre chemin. Une dame fort sympathique, s’est empressée de sortir des mouchoirs pour nettoyer le sac à dos de Christine, ainsi que son pantalon, etc. Sauf qu’elle m’a parut un peu trop sympa, et comme par hasard, elle avait pleinnnn de mouchoirs. Pendant que le Monsieur tout en m’expliquant vaguement où l’on était, m’éloignait de Christine, et voulait me prendre mon sac pour le nettoyer, je dis à mon amie de se méfier avec le sien. Mais elle avait déjà compris la manœuvre de ces deux zigottos qui voulaient tout simplement nous voler!
Nous n’avons pas lâché les sacs, et sommes parties en les remerciant, et que nous allions continuer à nous nettoyer seules. Nous avons traversé la route, et avons observé de loin leur engueulade pour n’avoir pas réussi à plumer les touristes que nous étions. Nous sommes rentrées quelques peu fachées de cette situation, bien que nous ayons super bien géré la chose. Du coup nous sommes restées sagement dans la chambre, et sommes sorties manger en fin d’après midi.
Buenos Aires la belle ne nous a pas mené par le bout du nez!
Cette ville à deux vitesses avec ses quartiers donnant l’illusion de richesse et d’un certain dynamisme, ne cache pas toutefois sa misère que l’on a deviné lorsque l’on a traversé en voiture ses bidonvilles. Cette pauvreté qui frappe aux portes de la ville la nuit sous l’effigie des quelques milliers de ‘’cartoneros’’, qui trient les poubelles dans l’espoir de récupérer les cartons recyclables. Il y a 3 millions d’habitant rien qu’à Buenos Aires…
 
 
 
 
 

4 commentaires:

vali a dit…

qui est pris qui croyait prendre!!!

Anonyme a dit…

los ladrones de buenos aires!
mon fils à eu exactement la meme mésaventure en 2010 à buenos aires aussi sauf qu'is avaient du se battre pour récupérer leurs sacs.ce sont des pratiques courantes en amérique du sud dans les grandes villes et lieux touristiques comme le machu pichu ou iguazu falls. méfies toi aussi des coupeurs de sacs (ils découpent les sac à dos au rasoir) d'ailleurs tu verras bon nombre de voyageurs portant leur sac sur le ventre. bon voyage quand meme§

Anonyme a dit…

On ne la lui fait pas à Valérie!!!c'est bien fifille.....c'est partout pareil hélas...pas + tard que la semaine dernière ,un monsieur que je connais s'est arrêté rue Aviateur Lebrix avec sa voiture et tandis que sa compagne traversait la rue pou aller acheter des fleurs,ce brave monsieur est descendu de voiture pour nettoyer tranquillement son pare-brise...un jeune homme s'approche de lui,le brave homme a CRU qu'il venait lui demander un renseignement.Le voyou lui a alors serré le coup jusqu'à lui faire saigner l'intérieur de l'oreille et bien sûr a volé la voiture!!!!
Soyez prudents,ici ...ou à Buenos aires!!!
Il doit être chouette ce métro:ses décors à la main;qques wagons en bois...ça doit le rendre + humain,moins impersonnel que les stations modernes qu'on peut connaître.
Apparemmment tu as repris du poil à la bête...comme quoi,qd on n'a pas les docteurs et les soins médicaux à portée de main,on peut néanmoins survivre....A méditer,pour soulager entr'autres les services d'urgence chez nous.
Bisous d'Ivana.

martine larané a dit…

bravo pour ta réaction VALERIE, ces pôvres gens ne savaient pas à qui ils avaient affaire...mal leur en a pris hihihihi...
tes photos reflètent bien l'ambiance de là-bas, quelles couleurs, olé olé, un petit pas de tango et c'est reparti.
Bisous