Le 7 mars
Nous sommes arrivés dans le fameux village de Iruya, à 8O km de Tilcara, non sans avoir fait une halte de quelques heures à Humahuaca, village également typique de l’Argentine andaise. J’ai par ailleurs beaucoup de mal à croire que je suis encore en Argentine. Les visages sont tannés et ridés par le soleil et l’air sec des montagnes. Tous ces argentins quechouas ressemblent aux boliviens. Nous sommes aux portes de la Bolivie, et pourtant encore en Argentine. Quelle différence entre la partie sud, Buenos Aires, et cette partie nord ouest. Il y a deux Argentines. Celles des émigrés européens qui sont quand même 70% et les 30 autres qui essaient de garder leurs traditions ancestrales, et qui ont aussi réussi à résister dans cette partie du pays, à l’invasion des italiens, des portugais, et autres.
Iruya, prononcez Irucha, est un village que très peu de touristes connaissent. Nous avons traversé encore et encore durant des kilomètres des paysages de montagnes tous aussi différents et magnifiques les uns les autres. Sur une route de terre caillouteuse, suffisamment étroite pour que deux véhicules ne puissent se croiser, et d’interminables virages en tête d’épingles. Pour corser un peu plus l’aventure, le bus a toutefois réussi à traverser deux gros torrents que la saison des pluies a occasionné. Les chauffeurs ont été obligés de bourrer certaines parties avec de la terre à l’aide d’une pelle. Les touristes du bus s’y sont tous mis et les ont aidés. Puis nous sommes repartis, avons traversé en priant pour que le bus passe sans encombres. Il est passé!
Je vous avais parlé de l’île de Chiloé et de son village du fin fond du…Nous étions arrivés trempés jusqu’aux os Nicole et moi. Et Bien je vous présente Iruya. Le deuxième endroit au fin fond du trou du cul du loup!!! Plus au bout que ça on ne peut pas! Et nous sommes AUSSI arrivés Michael et moi par temps de pluie!
Nous avons une chambre chez l’habitant. Moins cher que ça tu ne peux pas non plus! Si! En Inde et au Népal! 20 pesos,(4 euros)! Mais pour arriver dans cet endroit, nous avons du grimper 300 mètres de rue très pentue et complètement destroyed! Photos à l’appui. Et bien sûre sous la flotte, sinon l’aventure du bout du trou du cul du loup n’aurait pas été complète! Et là ma valise en roulette s’est transformée en sac à dos. Ell brave toutes les intempéries ma valise range rover!!! Elle me bat à plate couture! Bref, nous avons mangé dans un petit resto local, et dodo. Mais je sens que ce soir je ne vais pas dormir avant une bon moment. Il est déjà minuit, et il y a beaucoup de bruit dans la cuisine, avec d’autres jeunes qui font comme d’hab la fiesta. Et comble de l’horreur, j’ai oublié mes boules quiès à Tilcara. J’avoue que je commence à être vraiment fatiguée de ne pouvoir dormir correctement. Heureusement que j’ai pu dormir ces deux dernières nuit . Mais c’était la première fois depuis un mois! Enfin voilà pour l’anecdote. Demain visite du village. Nous resterons deux nuit, puis retour sur Humahuaca pour un bus qui nous dirigera vers la frontière bolivienne.
Le 8 mars.
Iruya, départ précipité. Et bilan.
Comme je l’avais prévu, je n’ai pas dormie de la nuit. Inutile de vous dire que mes yeux ressemblaient ce matin à des couilles d’hirondelles. Ha bon! Vous ne saviez pas qu’elles en avaient??? Non je plaisante. J’ai été obligé de pousser ma gueulante à trois heures du matin en leur disant de continuer leur conversation dans leur chambres, ce qu’ils ont fait. Sauf qu’à 6 heures, c’est la tenancière de l’hôtel qui s’est mise à nettoyer de fond en comble la cuisine durant deux bonnes heures. Ma chambre n’ayant pas de portes, mais simplement un rideau, donnait sur celle-ci. J’ai donc craqué. Je me suis habillée illico, toilette rapide, j’ai bouclé ma valise, j’ai expliqué à Michael pourquoi je ne continuais pas ma route avec lui. Tout simplement ras le bol des backpackers que je fréquente depuis l’ Australie. Envie de fuir l’Argentine et ses gens indifférents et irrespectueux. J’ai descendu mes 300 mètres de rue casse gueule, j’ai pris mon billet directe pour Humahuaca. Il était 10H30. Le bus arrivant à 13H, j’en ai profité pour faire le tour du village, qui au demeurant aurait été un bon havre de paix pour qui veut se ressourcer. Puis j’ai été dans un petit bar où j’ai eu le plaisir de revoir une dame à qui j’avais offert ma bouteille d’eau dans le bus la veille car elle avait tant couru pour ne pas le rater, qu’elle en était très essoufflée. Son café était délicieux. Du coup elle a absolument tenu à m’offrir à son tour une bouteille d’eau. Elle m’a présenté sa petite famille, entre autre son petit garçon de dix ans. J’ai un peu conversé avec lui, lui disant que j’avais aussi un petit garçon de son âge. Il était très curieux de savoir comment il s’appelait, en quelle classe il était, et quels étaient ses jouets préférés. Mais oui mes amis! Tout cela en espagnol, et j’ai tout compris, et j’ai tout bien répondu avec mon espagnol basic mais qui était compréhensible. J’ai même eu hier les compliments d’un jeune homme argentin, me disant que je m’exprimais bien. MAZET!!! Au bout de deux mois s’il vous plais! Puis la maman m’a demandé si j’avais des euros sur moi car elle n’en avait jamais vu. Là je me suis méfiée, peut être à tord. Je lui ai donc dit que je n’avais que des pesos et seulement quelques dollars. Elle a paru étonnée mais n’a pas répliqué. Je leur ai dit au revoir, et suis partie rejoindre mon bus.
3H30 pour le retour à Humahuaca, puis un autre bus en direction de La Cuaca, dernière ville d’ Argentine avant la traversée à pied de la frontière durant 20 minutes. Je suis arrivée dans cette ville ce soir à 19H30. La nuit commençait à tomber. J’ai donc évité de faire la fanfaronne, et j’ai décidé de dormir une dernière nuit en Argentine. J’ai très bien fait! Car il me reste 70 pesos. Je suis dans une backpacker tout ce qu’il y a de plus classe. Chambre individuelle et salle de bain privé pour 50 pesos avec petit déjeuner inclus. Cet endroit est digne d’un hôtel 3 étoiles. Les chambres ont la télé, des rideaux et une déco très jolis. Je prendrai des photos demain matin avant de partir. Il est 22H, je suis tranquille. J’ai bien potassé le guide du routard sur la Bolivie. Je puis y constater que les hôtels sont très peu chers. Les prix de L’Asie. Je vais donc pouvoir revenir à mes premières amours. A savoir prendre une chambre individuelle pour 12 à 15 euros. Bref…dormir.
Au revoir l’Argentine, deuxième pays après l’Australie qui m’a coûté bonbon. 1550 euros pour 24 jours. Mais j’avoue que les 465 euros d’avion m’ont plombé le budget. Toutefois le premier avion de El Calafate vers Buenos aires était nécessaire, à partir du moment où je faisais la route avec mon amie Christine. 3000 km de trajet. J’aurai pu éviter celui de Buenos Aires vers Iguaçu et rejoindre mon amie en bus. Mais dans ce cas, je n’aurais pas découvert les chutes vue d’avion. Alors je ne regrette rien, si ce n’est d’avoir été toutes les deux malades comme des chiens, ce qui a un peu entaché notre voyage. Mais nous sommes d’accord toutes les deux pour dire que ce pays recèle de paysages grandioses. Nous avons surtout dévoré le Périto Moreno et les Chutes d’Iguaçu. Je conseillerais toutefois une chose. Ce pays est gigantesque. Beaucoup de personnes le font en deux fois donc en deux parties. La Patagonie, et ensuite le nord du pays. Sachant que la Patagonie, et le nord est, sont les parties européennes et donc aux prix européens pour ce qui est du logement, des entrées des sites, et des menus du jour.
Quant au nord ouest, nous découvrons, enfin, la vrai Amérique latine. De plus les prix sont bien moins chers. Christine a dépensé en trois semaines la somme de 3000 euros. Entre les avions, la nourriture qui souvent était frugale, et le logement en simple backpacker. C’est tout simplement le prix d’un voyage organisé pour visiter le pays en deux semaines. Avec en prime des hôtels et une nourriture digne de ce nom.
Donc à vous ensuite de faire votre choix.
Adios l’Argentine! Demain la Bolivie me montre ses richesses. Je suis heureuse d’y aller, non sans toutefois une légère appréhension quant à la sécurité de celui-ci vis-à-vis des touristes. J’ai entendu pas mal de choses pas très jojos. Mais j’ai aussi entendu que c’est tout de même un pays sûre. Je pense qu’il faut tout simplement ne pas être là au mauvais moment, et surtout redoubler de vigilance. Ce que je vais faire, PROMIS!!!
Il me reste quatre mois sur ce beau continent. Un budget de 1650 euros. Il me manque 1000 euros pour être à l’aise. Les fameux qui ont été dépensés en trop, entre le budget Australie et Argentine. S’il le faut et bien tant pis je rajoute cet argent à ma cagnotte. Mais je continu jusqu’au bout.
Une dernière pensée pour Christine avec qui j’ai partagé ce petit bout de tour du monde, pour Fred ma belle sœur, fan du Che, et qui est partout sur les murs du nord du pays. Mais aussi une belle pensée pour mon ami Bruno qui aimerait venir vivre dans ce pays.
Nous sommes arrivés dans le fameux village de Iruya, à 8O km de Tilcara, non sans avoir fait une halte de quelques heures à Humahuaca, village également typique de l’Argentine andaise. J’ai par ailleurs beaucoup de mal à croire que je suis encore en Argentine. Les visages sont tannés et ridés par le soleil et l’air sec des montagnes. Tous ces argentins quechouas ressemblent aux boliviens. Nous sommes aux portes de la Bolivie, et pourtant encore en Argentine. Quelle différence entre la partie sud, Buenos Aires, et cette partie nord ouest. Il y a deux Argentines. Celles des émigrés européens qui sont quand même 70% et les 30 autres qui essaient de garder leurs traditions ancestrales, et qui ont aussi réussi à résister dans cette partie du pays, à l’invasion des italiens, des portugais, et autres.
Iruya, prononcez Irucha, est un village que très peu de touristes connaissent. Nous avons traversé encore et encore durant des kilomètres des paysages de montagnes tous aussi différents et magnifiques les uns les autres. Sur une route de terre caillouteuse, suffisamment étroite pour que deux véhicules ne puissent se croiser, et d’interminables virages en tête d’épingles. Pour corser un peu plus l’aventure, le bus a toutefois réussi à traverser deux gros torrents que la saison des pluies a occasionné. Les chauffeurs ont été obligés de bourrer certaines parties avec de la terre à l’aide d’une pelle. Les touristes du bus s’y sont tous mis et les ont aidés. Puis nous sommes repartis, avons traversé en priant pour que le bus passe sans encombres. Il est passé!
Je vous avais parlé de l’île de Chiloé et de son village du fin fond du…Nous étions arrivés trempés jusqu’aux os Nicole et moi. Et Bien je vous présente Iruya. Le deuxième endroit au fin fond du trou du cul du loup!!! Plus au bout que ça on ne peut pas! Et nous sommes AUSSI arrivés Michael et moi par temps de pluie!
Nous avons une chambre chez l’habitant. Moins cher que ça tu ne peux pas non plus! Si! En Inde et au Népal! 20 pesos,(4 euros)! Mais pour arriver dans cet endroit, nous avons du grimper 300 mètres de rue très pentue et complètement destroyed! Photos à l’appui. Et bien sûre sous la flotte, sinon l’aventure du bout du trou du cul du loup n’aurait pas été complète! Et là ma valise en roulette s’est transformée en sac à dos. Ell brave toutes les intempéries ma valise range rover!!! Elle me bat à plate couture! Bref, nous avons mangé dans un petit resto local, et dodo. Mais je sens que ce soir je ne vais pas dormir avant une bon moment. Il est déjà minuit, et il y a beaucoup de bruit dans la cuisine, avec d’autres jeunes qui font comme d’hab la fiesta. Et comble de l’horreur, j’ai oublié mes boules quiès à Tilcara. J’avoue que je commence à être vraiment fatiguée de ne pouvoir dormir correctement. Heureusement que j’ai pu dormir ces deux dernières nuit . Mais c’était la première fois depuis un mois! Enfin voilà pour l’anecdote. Demain visite du village. Nous resterons deux nuit, puis retour sur Humahuaca pour un bus qui nous dirigera vers la frontière bolivienne.
Le 8 mars.
Iruya, départ précipité. Et bilan.
Comme je l’avais prévu, je n’ai pas dormie de la nuit. Inutile de vous dire que mes yeux ressemblaient ce matin à des couilles d’hirondelles. Ha bon! Vous ne saviez pas qu’elles en avaient??? Non je plaisante. J’ai été obligé de pousser ma gueulante à trois heures du matin en leur disant de continuer leur conversation dans leur chambres, ce qu’ils ont fait. Sauf qu’à 6 heures, c’est la tenancière de l’hôtel qui s’est mise à nettoyer de fond en comble la cuisine durant deux bonnes heures. Ma chambre n’ayant pas de portes, mais simplement un rideau, donnait sur celle-ci. J’ai donc craqué. Je me suis habillée illico, toilette rapide, j’ai bouclé ma valise, j’ai expliqué à Michael pourquoi je ne continuais pas ma route avec lui. Tout simplement ras le bol des backpackers que je fréquente depuis l’ Australie. Envie de fuir l’Argentine et ses gens indifférents et irrespectueux. J’ai descendu mes 300 mètres de rue casse gueule, j’ai pris mon billet directe pour Humahuaca. Il était 10H30. Le bus arrivant à 13H, j’en ai profité pour faire le tour du village, qui au demeurant aurait été un bon havre de paix pour qui veut se ressourcer. Puis j’ai été dans un petit bar où j’ai eu le plaisir de revoir une dame à qui j’avais offert ma bouteille d’eau dans le bus la veille car elle avait tant couru pour ne pas le rater, qu’elle en était très essoufflée. Son café était délicieux. Du coup elle a absolument tenu à m’offrir à son tour une bouteille d’eau. Elle m’a présenté sa petite famille, entre autre son petit garçon de dix ans. J’ai un peu conversé avec lui, lui disant que j’avais aussi un petit garçon de son âge. Il était très curieux de savoir comment il s’appelait, en quelle classe il était, et quels étaient ses jouets préférés. Mais oui mes amis! Tout cela en espagnol, et j’ai tout compris, et j’ai tout bien répondu avec mon espagnol basic mais qui était compréhensible. J’ai même eu hier les compliments d’un jeune homme argentin, me disant que je m’exprimais bien. MAZET!!! Au bout de deux mois s’il vous plais! Puis la maman m’a demandé si j’avais des euros sur moi car elle n’en avait jamais vu. Là je me suis méfiée, peut être à tord. Je lui ai donc dit que je n’avais que des pesos et seulement quelques dollars. Elle a paru étonnée mais n’a pas répliqué. Je leur ai dit au revoir, et suis partie rejoindre mon bus.
3H30 pour le retour à Humahuaca, puis un autre bus en direction de La Cuaca, dernière ville d’ Argentine avant la traversée à pied de la frontière durant 20 minutes. Je suis arrivée dans cette ville ce soir à 19H30. La nuit commençait à tomber. J’ai donc évité de faire la fanfaronne, et j’ai décidé de dormir une dernière nuit en Argentine. J’ai très bien fait! Car il me reste 70 pesos. Je suis dans une backpacker tout ce qu’il y a de plus classe. Chambre individuelle et salle de bain privé pour 50 pesos avec petit déjeuner inclus. Cet endroit est digne d’un hôtel 3 étoiles. Les chambres ont la télé, des rideaux et une déco très jolis. Je prendrai des photos demain matin avant de partir. Il est 22H, je suis tranquille. J’ai bien potassé le guide du routard sur la Bolivie. Je puis y constater que les hôtels sont très peu chers. Les prix de L’Asie. Je vais donc pouvoir revenir à mes premières amours. A savoir prendre une chambre individuelle pour 12 à 15 euros. Bref…dormir.
Au revoir l’Argentine, deuxième pays après l’Australie qui m’a coûté bonbon. 1550 euros pour 24 jours. Mais j’avoue que les 465 euros d’avion m’ont plombé le budget. Toutefois le premier avion de El Calafate vers Buenos aires était nécessaire, à partir du moment où je faisais la route avec mon amie Christine. 3000 km de trajet. J’aurai pu éviter celui de Buenos Aires vers Iguaçu et rejoindre mon amie en bus. Mais dans ce cas, je n’aurais pas découvert les chutes vue d’avion. Alors je ne regrette rien, si ce n’est d’avoir été toutes les deux malades comme des chiens, ce qui a un peu entaché notre voyage. Mais nous sommes d’accord toutes les deux pour dire que ce pays recèle de paysages grandioses. Nous avons surtout dévoré le Périto Moreno et les Chutes d’Iguaçu. Je conseillerais toutefois une chose. Ce pays est gigantesque. Beaucoup de personnes le font en deux fois donc en deux parties. La Patagonie, et ensuite le nord du pays. Sachant que la Patagonie, et le nord est, sont les parties européennes et donc aux prix européens pour ce qui est du logement, des entrées des sites, et des menus du jour.
Quant au nord ouest, nous découvrons, enfin, la vrai Amérique latine. De plus les prix sont bien moins chers. Christine a dépensé en trois semaines la somme de 3000 euros. Entre les avions, la nourriture qui souvent était frugale, et le logement en simple backpacker. C’est tout simplement le prix d’un voyage organisé pour visiter le pays en deux semaines. Avec en prime des hôtels et une nourriture digne de ce nom.
Donc à vous ensuite de faire votre choix.
Adios l’Argentine! Demain la Bolivie me montre ses richesses. Je suis heureuse d’y aller, non sans toutefois une légère appréhension quant à la sécurité de celui-ci vis-à-vis des touristes. J’ai entendu pas mal de choses pas très jojos. Mais j’ai aussi entendu que c’est tout de même un pays sûre. Je pense qu’il faut tout simplement ne pas être là au mauvais moment, et surtout redoubler de vigilance. Ce que je vais faire, PROMIS!!!
Il me reste quatre mois sur ce beau continent. Un budget de 1650 euros. Il me manque 1000 euros pour être à l’aise. Les fameux qui ont été dépensés en trop, entre le budget Australie et Argentine. S’il le faut et bien tant pis je rajoute cet argent à ma cagnotte. Mais je continu jusqu’au bout.
Une dernière pensée pour Christine avec qui j’ai partagé ce petit bout de tour du monde, pour Fred ma belle sœur, fan du Che, et qui est partout sur les murs du nord du pays. Mais aussi une belle pensée pour mon ami Bruno qui aimerait venir vivre dans ce pays.
3 commentaires:
dernier récit et dernières photos de l'argentine. Adios!!!
Que j'aime tes portraits !
Tu as vraiment un don pour prendre les gens en photos !
Fais-en davantage, en Inde tu en prenais beaucoup et j'adorais ! Là c'est bien que tu en aies pris des Argentins.
Peut-être que c'est lié aux émotions que tu éprouves et que si tu en as moins pris ces derniers temps c'est que les gens rencontrés t'ont moins émue ?
Tu me fais trop rire quand tu dis "J"ai dû pousser ma gueulante", c'est une phrase qui ponctue ton récit et à chaque fois je t'imagine trop bien !
Tu as été très présente (par la pensée) hier soir chez Grâce et Jacques.
On t'embrasse tous les quatre très fort !
Bonne route en Colombie !!!
On peut dire que tu mets les bouchées doubles pendant cette expédition!!!que de péripéties,de déplacements ,de situations différentes,de rencontres!!j'en ai le tournic en te lisant!!Je constate également ta prédisposition pour les langues.Cette facilité est souvent liée à l'oreille musicale que tu as par ailleurs.
Et quelle gestionnaire tu fais!!!Tu as raté une vocation!!!!ça m'épate d'autant plus que je n'ai pas ce talent-là!!J'ai tjrs su mener ma barque comme on dit,sans jamais de découverts ou de dettes mais tenir les comptes aussi méthodiquement que tu le fais(et je sais bien que c'est indispensable ds ce genre d'entreprise),ça me prendrait trop la tête.
Tes yeux ont dû reprendre la dimension de couilles de je ne sais quoi....Je compatis pour ton manque de sommeil car pour mon équilibre nerveux,ce serait TERRIBLE
Bises d'Ivana.
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