Journée d’hier à Puno sympathique entre la visite de la ville et la tonne de bouffe que j’ai ingurgité.. Il fait froid au Pérou. Ou plutôt il fait très humide. Le linge ne sèche pas. Et celui qui est soit disant sec, est imprégné d’humidité. Je dors avec chaussettes, pull, emmitouflée sous les trois couvertures. Seul mon bout de nez reste gelé. Adios Puno. Six bonnes heures de voyage en super bus touristiques. Fauteuils dignes de ceux des première classe en avion, et surtout!!!! Toilette à bord. Ce qui manquait cruellement à la Bolivie. L’enfer lorsque qu’il fallait se retenir durant des heures entières.
Le Pérou, bien qu’un peu plus cher, offre des prestations de transports et de visites touristiques mieux agencés. Le pays est un peu plus riche, le coût de la vie suit. Le confort du bus me permet de rêvasser sur ces derniers mois, sur ces dernières années. Un bilan pas folichon lorsque je pense à mes relations sentimentales. Mais je suis satisfaite de tout le reste. Je me console en me disant que l’on ne puis réussir dans tous les domaines. Je suis à présent pleinement heureuse et sereine. Envolés les mauvais fantômes de mon enfance qui ont entravé l’amour réel que j’aurais pu porter à un homme, puisque je cherchai avant tout à être aimée. Bonjour la nouvelle MOI que j’apprivoise de mieux en mieux chaque jour, et qui illumine mes journées. Où se cache l’écorchée vive que l’on devinait encore il n’y à pas deux mois???
Cuzco!
Je suis dans un hôtel à deux pas de la superbe grande place de La célèbre cité inca. L’arrivée en bus dans la ville me montre un Cuzco digne du quartier El Alto à la Paz. C’est-à-dire, minable. Nous traversons la banlieue tentaculaire pour descendre au centre ville. La donne change. Le peu que je découvre malgré une pluie battante m’émerveille. Je comprends alors pourquoi cette cité n’est pas un endroit seulement de passage. A 3400 mètres d’altitude, Cuzco, qui veut dire le nombril en quechua, se dresse devant mes yeux dans toute sa splendeur coloniale flirtant avec les vestiges de nobles bâtiments incas. Pour accéder à mon hôtel, je grimpe une petite centaine de marches d’époque qui méritent une photo. Mais la pluie, le poids de ma valise et de mon sac à dos, me font abdiquer momentanément. Je ne rêve que d’une chose, me retrouver au chaud. Chose pas facile. Aucun radiateur dans les hôtels de Bolivie ou du Pérou, à moins d’être dans un quatre étoile. Le gérant de l’établissement est adorable. Il me fait visiter une chambre avec vue panoramique sur les toits de la ville. J’adopte. Petit repas dans un petit restaurant de la rue. Petite remontée au bercail avec les petits escaliers de pavés, sous une petite pluie, la grosse s’étant allée ailleurs. Demain visite de la ville, et réservation de mon mini trekking pour le Machu Picchu.
Le Pérou, bien qu’un peu plus cher, offre des prestations de transports et de visites touristiques mieux agencés. Le pays est un peu plus riche, le coût de la vie suit. Le confort du bus me permet de rêvasser sur ces derniers mois, sur ces dernières années. Un bilan pas folichon lorsque je pense à mes relations sentimentales. Mais je suis satisfaite de tout le reste. Je me console en me disant que l’on ne puis réussir dans tous les domaines. Je suis à présent pleinement heureuse et sereine. Envolés les mauvais fantômes de mon enfance qui ont entravé l’amour réel que j’aurais pu porter à un homme, puisque je cherchai avant tout à être aimée. Bonjour la nouvelle MOI que j’apprivoise de mieux en mieux chaque jour, et qui illumine mes journées. Où se cache l’écorchée vive que l’on devinait encore il n’y à pas deux mois???
Cuzco!
Je suis dans un hôtel à deux pas de la superbe grande place de La célèbre cité inca. L’arrivée en bus dans la ville me montre un Cuzco digne du quartier El Alto à la Paz. C’est-à-dire, minable. Nous traversons la banlieue tentaculaire pour descendre au centre ville. La donne change. Le peu que je découvre malgré une pluie battante m’émerveille. Je comprends alors pourquoi cette cité n’est pas un endroit seulement de passage. A 3400 mètres d’altitude, Cuzco, qui veut dire le nombril en quechua, se dresse devant mes yeux dans toute sa splendeur coloniale flirtant avec les vestiges de nobles bâtiments incas. Pour accéder à mon hôtel, je grimpe une petite centaine de marches d’époque qui méritent une photo. Mais la pluie, le poids de ma valise et de mon sac à dos, me font abdiquer momentanément. Je ne rêve que d’une chose, me retrouver au chaud. Chose pas facile. Aucun radiateur dans les hôtels de Bolivie ou du Pérou, à moins d’être dans un quatre étoile. Le gérant de l’établissement est adorable. Il me fait visiter une chambre avec vue panoramique sur les toits de la ville. J’adopte. Petit repas dans un petit restaurant de la rue. Petite remontée au bercail avec les petits escaliers de pavés, sous une petite pluie, la grosse s’étant allée ailleurs. Demain visite de la ville, et réservation de mon mini trekking pour le Machu Picchu.
5 commentaires:
voilà!!! quelques dernières photos de Puno, sans prétention.
ça me rend heureuse de savoir que tu es heureuse ! Bises ma Vali
Quelle sagesse !!!Eh oui on ne peut pas tt réussir ds sa vie.Simples mortels que ns sommes,ns sommes obligés d'être humbles et d'accepter ttes nos imperfections....et celles des autres.Mais qu'est-ce que tu es courageuse,battante,rien qui te rebute ,même si parfois ça n'est pas idéal...J'ai eu froid en te lisant!!!et cette humidité! pour tes douleurs et ta bronchite,ça n'est pas trop recommandé.
Merci encore pour tes récits et tes photos.
Gros bisous d'Ivana.
Comme je languis de te retrouver !
Régale toi dans ce magnifique pays qui semble déjà t'avoir envoûtée.
J'espère que tu auras meilleur temps demain.
Bisous
gros bisous ma caille, mon élève préféré et ma cathou de moi. Histoire de rassurer. La bronchite est loin maintenant, et les rhumatismes me font un peu moins mal.
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