Une nouvelle amitié au Pérou.
Aujourd’hui j’ai visité les couvent de Santa Catalina. Endroit de toute beauté. Immense par ses nombreuses cellules, mes aussi par ses nombreuses et charmantes rues colorées de rouge et de bleu Magellan, comme la maison d’un grand couturier à Marrakech. Ce monastère dominicain est tout simplement une ville dans une autre ville. Durant quatre siècles quelques centaines de nonnes ainsi que leurs servantes, mais oui mais oui, y vécurent à l’abri de tous regards extérieurs. Les religieuses étaient issues de grande familles riches espagnoles. Elles avaient donc leur cellule privative avec cuisine et salle de bain personnelle. Elles étaient autorisées à avoir jusqu’à quatre servantes ou esclaves, et pouvaient également organiser des réceptions entre elles, comme dans le grand monde. Je n’ai jamais vu un monastère aussi digne d’intérêt architectural et aussi plein de charme. Des patios aux odeurs d’orangers, mais aussi de superbes fresques. Bref un plaisir des yeux qui a duré deux bonnes heures.
Rentrée à l’hôtel après avoir dégusté un ‘’cerviche de marisco’’ au mercado (fruits de mer mariné dans du citron et de l’ail, agrémenté d’une des 4000 variété de patates du Pérou), je partis me reposer dans ma chambre. Je reçu un mail de Rosa Maria. Une dame que j’avais rencontré succinctement avec son amie avocate et habitant Buenos Aires. Toutes les deux s’étaient prises de sympathie à mon égard, bien que je leur ai pratiquement pas adressé la parole durant les deux jours d’excursion sur le lac Titicaca. C’est par ailleurs pour cela que je n’en ai, jusqu’à présent pas parlé sur mon blog. J’ai revu ces deux dames à Cuzco. Nous avons alors échangé nos mails. L’avocate voulant absolument que je vienne chez elle à Buenos Aires (trop tard madame), et Rosa Maria, habitant Aréquipa m’invitait pour dormir et manger le temps voulu. Sauf qu’elle m’a répondu un jour trop tard à mon mail où je lui disais venir le jour J. Elle a toutefois tenu à m’inviter à manger demain midi. J’ai fait la connaissance de son mari ce soir. Nous avons été prendre un apéro sur la superbe place, et après une sympathique conversation de deux bonnes heures (et oui j’assure maintenant en espagnol), ils m’ont fait visiter la ville by night. Entre autre un superbe quartier résidentiel. Cette petite fin d’après midi m’a fait du bien, car je venais de recevoir un message de ma fifille me disant que son petit frère pleurait car je lui manquait. Du coup gros coup de blues durant quelques heures. Ha ces minots…ils ont l’art et la manière de vous mettre à l’envers en deux deux!!! Mais comme on les aime…
Aujourd’hui j’ai visité les couvent de Santa Catalina. Endroit de toute beauté. Immense par ses nombreuses cellules, mes aussi par ses nombreuses et charmantes rues colorées de rouge et de bleu Magellan, comme la maison d’un grand couturier à Marrakech. Ce monastère dominicain est tout simplement une ville dans une autre ville. Durant quatre siècles quelques centaines de nonnes ainsi que leurs servantes, mais oui mais oui, y vécurent à l’abri de tous regards extérieurs. Les religieuses étaient issues de grande familles riches espagnoles. Elles avaient donc leur cellule privative avec cuisine et salle de bain personnelle. Elles étaient autorisées à avoir jusqu’à quatre servantes ou esclaves, et pouvaient également organiser des réceptions entre elles, comme dans le grand monde. Je n’ai jamais vu un monastère aussi digne d’intérêt architectural et aussi plein de charme. Des patios aux odeurs d’orangers, mais aussi de superbes fresques. Bref un plaisir des yeux qui a duré deux bonnes heures.
Rentrée à l’hôtel après avoir dégusté un ‘’cerviche de marisco’’ au mercado (fruits de mer mariné dans du citron et de l’ail, agrémenté d’une des 4000 variété de patates du Pérou), je partis me reposer dans ma chambre. Je reçu un mail de Rosa Maria. Une dame que j’avais rencontré succinctement avec son amie avocate et habitant Buenos Aires. Toutes les deux s’étaient prises de sympathie à mon égard, bien que je leur ai pratiquement pas adressé la parole durant les deux jours d’excursion sur le lac Titicaca. C’est par ailleurs pour cela que je n’en ai, jusqu’à présent pas parlé sur mon blog. J’ai revu ces deux dames à Cuzco. Nous avons alors échangé nos mails. L’avocate voulant absolument que je vienne chez elle à Buenos Aires (trop tard madame), et Rosa Maria, habitant Aréquipa m’invitait pour dormir et manger le temps voulu. Sauf qu’elle m’a répondu un jour trop tard à mon mail où je lui disais venir le jour J. Elle a toutefois tenu à m’inviter à manger demain midi. J’ai fait la connaissance de son mari ce soir. Nous avons été prendre un apéro sur la superbe place, et après une sympathique conversation de deux bonnes heures (et oui j’assure maintenant en espagnol), ils m’ont fait visiter la ville by night. Entre autre un superbe quartier résidentiel. Cette petite fin d’après midi m’a fait du bien, car je venais de recevoir un message de ma fifille me disant que son petit frère pleurait car je lui manquait. Du coup gros coup de blues durant quelques heures. Ha ces minots…ils ont l’art et la manière de vous mettre à l’envers en deux deux!!! Mais comme on les aime…
4 commentaires:
suivez la guide en photo. un régal.
ptain trop belles couleurs et quelle beauté ce couvent je kifff bisouxxxx
Je comprends mieux en te lisant le coup de blues dont tu parlais sur Facebook...et je comprends aussi que ton fils te réclame...Le pauvre chou,ce n'est pas un adulte c'est normal que sa maman lui manque!!!mais pense à la joie des retrouvailles:ça sera magique et d'une force certainement que seule cette longue séparation aura pu générer.
je vois que tes découvertes géographiques et humaines st tjrs de qualité.Déguste!Bisous d' Ivana.
oui Ivana, les retrouvailles seront intenses en émotion. Rien que d'y penser j'en pleure déjà. Lolotte le couvent est tellement beau que l'on a presque envie de devenir nonne!!!
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