Quatre mois sont passés depuis mon départ. Que de superbes contrées visitées, que de belles personnes rencontrées. Que de rires et d’émotions partagées. Mais aussi des larmes qui n’ont pu êtres évitées tant par mes bons souvenirs, que par mes êtres chers éloignés de moi..
Que la vie est belle loin des soucis quotidiens, mais que la vie est triste loin des siens. C’est là que je découvre toute l’importance de chaque geste, de chaque mot qui ont pu rendre heureux ou qui ont pu blesser mon entourage, ainsi que moi-même. C’est là que je découvre combien la vie vaut la peine d’être vécu lorsque l’on se donne les moyens de réaliser ne serait-ce qu’un seul de nos rêves, même le plus petit. Mais c’est surtout là que je me rends compte combien il est impératif d’être avant toute autre chose, en excellente santé. Que de chance d’être en excellente santé. Que de chance j’ai d’avoir ce caractère de « guerrière » pour me botter le cul dans la vie. Un grand MERCI à mes parents pour m’avoir, bien malgré eux, mise au monde. Car franchement, ma vie a value ma peine, tout comme ma vie vaut la peine, comme beaucoup d’entre vous.
Je dois bien avouer maintenant que malgré cet énorme désir de faire un tour du monde, afin de changer radicalement de vie, et surtout de me faire plaisir, de me donner du temps pour moi, ceci afin de pouvoir amorcer une deuxième tranche de vie en toute quiétude. Et bien je dois bien avouer… que je suis partie sans vraiment savoir si j’arriverais à aller jusqu’au bout de mon périple. Je peux dire maintenant que non seulement je le ferais, mais surtout je ne l’arrêterais qu’en cas de force majeur indépendant de ma volonté. Mes enfants me manquent…Ô combien… mes amis me manquent. Mais ces cinq mois passés à travers la planète, m’ont surement bien plus appris que les meilleures écoles et la meilleure éducation qui m’ont été apportées par tous les internats de France et de Navarre. En observant les peuples vivre, en me fondant dans le moule des particularités positives et négatives de chaque pays, j’ai appris à grandir d’une autre manière. J’ai appris que la vie pour beaucoup est avant tout de trouver de quoi manger pour leur survie journalière. J’ai appris que la famille est plus importante que les amis. Car c’est la famille qui s’occupe de vous faire vieillir, et de mourir dans la décence, lorsque l’on a plus la force de travailler dans les champs. Alors qu’en Europe la famille est reléguée aux oubliettes. Les petits problèmes deviennent des montagnes, jusqu’à se déchirer les âmes. Simplement parce que l’on n’accepte pas la différence de l’autre. Alors qu’il suffit juste d’admettre que l’autre est différent de soi, même s’il est de notre famille. N’est-ce pas cela qui en définitive fait la richesse de celle-ci? Quelle tristesse…
J’ai appris que nous sommes tous différents, mais j’ai surtout ressenti combien nous sommes aussi tous égaux dans nos différences. Que l’on soit bridé, noir, blanc, intouchable, notre émotion lorsqu’on perd un parent, un enfant, lorsqu’on aime, lorsqu’on déteste, est la même à travers toute la planète. J’ai vu des peuples vénérer des arbres, des statues, une croix et son christ, j’ai vu des vieillards attendre leur mort au bord du Gange pour ne pas à avoir à passer par les réincarnations, et aller directement au paradis. J’ai vu des hommes croire en tout, mais aussi en rien. J’ai eu moi aussi des croyances. J’ai eu la chance d’étudier l’histoire religieuse judéo chrétienne. J’ai ensuite étudié par moi-même auprès d’un professeur de théologie, même des témoins de Jéhovah, durant quelques années. Et j’ai cru moi aussi à ce que l’on m’apprenais, je n’ai plus cru ensuite. Ce long voyage me redonne goût à croire. A croire tout simplement en dieu, donc en nous, donc en l’humanité. A croire que l’homme est capable du pire comme du meilleur. Tout cela nous le savons. Mais une petite tape sur l’épaule pour nous le rappeler fait du bien. Croire également que nous allons nous redresser afin de sauver ce si beau monde, et qu’il ne sera pas trop tard.
Dans quelques jours j’arriverai en Amérique latine où m’attendent encore d’autres si beaux peuples. D’autres aventures aussi, que je souhaite aussi belles que celles que je viens de traverser.
J’ai fait des gueuletons et dormi dans des supers hôtels pour une misère en Asie, continent où de nombreux peuples ne mangent pas à leur faim. j’ai à mon tour économisé sur ma nourriture, et dormi dans une voiture durant 3 semaines par mesure d’économie dans des pays où le peuple a trop à manger.
Quelle hérésie!!!
J’ai râlé parce que les asiatiques vous harcèlent pour vous vendre a des prix touristiques, et à vous de devoir marchander pour avoir un prix correct. Mais où se trouve la limite du correct pour eux, et pour nous européens qui ne manquons de rien???
Où se trouve la limite du correct pour des pays comme l’Australie qui vit mieux que mieux, et qui assomme financièrement les touristes? Si c’est ça le capitalisme…
Mouai boof….(clin d’œil).
Ce que j’ai constaté aussi sont les asiatiques qui s’immiscent petit à petit dans l’économie de chaque pays européanisé, en ouvrant des magasins d’alimentation, de cyber café, etc. Ce sont des bosseurs hors pairs. Ils ont tout compris. Quant à nous français, si nous ne votons pas pour une revalorisation du salaire minimum, donc une revalorisation du travail, nous allons droit dans le mur, et risquons de perdre bien des acquits que les autres pays n’ont pas cette chance d’avoir. Quand le smic sera revalorisé par apport au RSA. C’est-à-dire que lorsque les personnes qui touchent cette manne du gouvernement, avec l’ aide des allocs, plus la mutuelle gratuite, plus les transport gratuits, plus plus plus. Et qui en définitive gagnent autant qu’un simple smicard, alors peut être auront-ils enfin envie de travailler car le salaire sera plus fort. Et peut être que enfin les personnes qui travaillent et qui payent des impôts auront envie de payer pour les VRAIS défavorisés au RSA…
J’ai aussi constaté une chose en parlant avec les autochtones de chaque continents, de chaque pays. La magouille politique sévit de partout. Les gens, même à l’autre bout du monde sont dégouttés. Certains ne votent même plus.
Bien des ressentis et des préjugés se sont effondrés dans ma tête et dans mon cœur. Tant de changements se sont opérés dans mes sentiments. Je savais que partir comme cela allait « me changer » comme m’avait averti une personne avisée. Yoyo, ce gentleman à l’autre bout de la France par apport à ma ville, que je ne connais que par internet, mais qui pourtant m’a tant appris par son altruisme, et qui m’a tant apporté ne serait-ce qu’à travers ses jolis mails, ses conseils, ses encouragements. Et puis…
Une réelle grande surprise par la ré apparition d’un membre de ma famille qui pour moi était considérée comme morte. Quel « hasard » que cela arrive juste au moment de mon tour du monde… Quel hasard??? Mais il y a-t-il seulement un hasard?…
J’ai subit aussi des changements physiques. Un petit coup de vieux autour de mes yeux, soleil oblige? Allez on y croit. Trois couleurs de cheveux! Bruns, à la racine(ma couleur), châtain clair pour le reste, toujours le soleil, et enfin pas mal de blanc, pour la vieillerie qui arrive!!! Là aussi, obligée d’y croire!
Des kilos et de la masse musculaire en moins, mais aussi une fatigue générale dû à des nuits courtes et inconfortables.
Bilan de ces 4 mois révolus:
Je change de continent. L Amérique latine m’attend.
Je continue donc ma route. Et je continuerais bien encore et encore. Faire comme Omar, ce Monsieur que j’ai rencontré en Nouvelle Zélande et qui voyage depuis deux ans à travers le monde, en travaillant à droite à gauche pour financer sa route.
Mais je n’ai pas dit mon dernier mot. Je reviens dans 5 mois, pour mon fils qui a encore besoin de sa maman, et qui me manque tant. Pour ma fille avec qui je dois retrouver une autre complicité. Celle de femme à femme, continuer d’être sa confidente. La protéger grâce à mon expérience, mais pas trop, afin de lui laisser faire les siennes.Et bien sure pour mes frères, mes cousins et vous mes amis.
Refaire un tour du monde? je ne pense pas. Mais des voyages de 3 voir 4 mois? Why not???
Que la vie est belle loin des soucis quotidiens, mais que la vie est triste loin des siens. C’est là que je découvre toute l’importance de chaque geste, de chaque mot qui ont pu rendre heureux ou qui ont pu blesser mon entourage, ainsi que moi-même. C’est là que je découvre combien la vie vaut la peine d’être vécu lorsque l’on se donne les moyens de réaliser ne serait-ce qu’un seul de nos rêves, même le plus petit. Mais c’est surtout là que je me rends compte combien il est impératif d’être avant toute autre chose, en excellente santé. Que de chance d’être en excellente santé. Que de chance j’ai d’avoir ce caractère de « guerrière » pour me botter le cul dans la vie. Un grand MERCI à mes parents pour m’avoir, bien malgré eux, mise au monde. Car franchement, ma vie a value ma peine, tout comme ma vie vaut la peine, comme beaucoup d’entre vous.
Je dois bien avouer maintenant que malgré cet énorme désir de faire un tour du monde, afin de changer radicalement de vie, et surtout de me faire plaisir, de me donner du temps pour moi, ceci afin de pouvoir amorcer une deuxième tranche de vie en toute quiétude. Et bien je dois bien avouer… que je suis partie sans vraiment savoir si j’arriverais à aller jusqu’au bout de mon périple. Je peux dire maintenant que non seulement je le ferais, mais surtout je ne l’arrêterais qu’en cas de force majeur indépendant de ma volonté. Mes enfants me manquent…Ô combien… mes amis me manquent. Mais ces cinq mois passés à travers la planète, m’ont surement bien plus appris que les meilleures écoles et la meilleure éducation qui m’ont été apportées par tous les internats de France et de Navarre. En observant les peuples vivre, en me fondant dans le moule des particularités positives et négatives de chaque pays, j’ai appris à grandir d’une autre manière. J’ai appris que la vie pour beaucoup est avant tout de trouver de quoi manger pour leur survie journalière. J’ai appris que la famille est plus importante que les amis. Car c’est la famille qui s’occupe de vous faire vieillir, et de mourir dans la décence, lorsque l’on a plus la force de travailler dans les champs. Alors qu’en Europe la famille est reléguée aux oubliettes. Les petits problèmes deviennent des montagnes, jusqu’à se déchirer les âmes. Simplement parce que l’on n’accepte pas la différence de l’autre. Alors qu’il suffit juste d’admettre que l’autre est différent de soi, même s’il est de notre famille. N’est-ce pas cela qui en définitive fait la richesse de celle-ci? Quelle tristesse…
J’ai appris que nous sommes tous différents, mais j’ai surtout ressenti combien nous sommes aussi tous égaux dans nos différences. Que l’on soit bridé, noir, blanc, intouchable, notre émotion lorsqu’on perd un parent, un enfant, lorsqu’on aime, lorsqu’on déteste, est la même à travers toute la planète. J’ai vu des peuples vénérer des arbres, des statues, une croix et son christ, j’ai vu des vieillards attendre leur mort au bord du Gange pour ne pas à avoir à passer par les réincarnations, et aller directement au paradis. J’ai vu des hommes croire en tout, mais aussi en rien. J’ai eu moi aussi des croyances. J’ai eu la chance d’étudier l’histoire religieuse judéo chrétienne. J’ai ensuite étudié par moi-même auprès d’un professeur de théologie, même des témoins de Jéhovah, durant quelques années. Et j’ai cru moi aussi à ce que l’on m’apprenais, je n’ai plus cru ensuite. Ce long voyage me redonne goût à croire. A croire tout simplement en dieu, donc en nous, donc en l’humanité. A croire que l’homme est capable du pire comme du meilleur. Tout cela nous le savons. Mais une petite tape sur l’épaule pour nous le rappeler fait du bien. Croire également que nous allons nous redresser afin de sauver ce si beau monde, et qu’il ne sera pas trop tard.
Dans quelques jours j’arriverai en Amérique latine où m’attendent encore d’autres si beaux peuples. D’autres aventures aussi, que je souhaite aussi belles que celles que je viens de traverser.
J’ai fait des gueuletons et dormi dans des supers hôtels pour une misère en Asie, continent où de nombreux peuples ne mangent pas à leur faim. j’ai à mon tour économisé sur ma nourriture, et dormi dans une voiture durant 3 semaines par mesure d’économie dans des pays où le peuple a trop à manger.
Quelle hérésie!!!
J’ai râlé parce que les asiatiques vous harcèlent pour vous vendre a des prix touristiques, et à vous de devoir marchander pour avoir un prix correct. Mais où se trouve la limite du correct pour eux, et pour nous européens qui ne manquons de rien???
Où se trouve la limite du correct pour des pays comme l’Australie qui vit mieux que mieux, et qui assomme financièrement les touristes? Si c’est ça le capitalisme…
Mouai boof….(clin d’œil).
Ce que j’ai constaté aussi sont les asiatiques qui s’immiscent petit à petit dans l’économie de chaque pays européanisé, en ouvrant des magasins d’alimentation, de cyber café, etc. Ce sont des bosseurs hors pairs. Ils ont tout compris. Quant à nous français, si nous ne votons pas pour une revalorisation du salaire minimum, donc une revalorisation du travail, nous allons droit dans le mur, et risquons de perdre bien des acquits que les autres pays n’ont pas cette chance d’avoir. Quand le smic sera revalorisé par apport au RSA. C’est-à-dire que lorsque les personnes qui touchent cette manne du gouvernement, avec l’ aide des allocs, plus la mutuelle gratuite, plus les transport gratuits, plus plus plus. Et qui en définitive gagnent autant qu’un simple smicard, alors peut être auront-ils enfin envie de travailler car le salaire sera plus fort. Et peut être que enfin les personnes qui travaillent et qui payent des impôts auront envie de payer pour les VRAIS défavorisés au RSA…
J’ai aussi constaté une chose en parlant avec les autochtones de chaque continents, de chaque pays. La magouille politique sévit de partout. Les gens, même à l’autre bout du monde sont dégouttés. Certains ne votent même plus.
Bien des ressentis et des préjugés se sont effondrés dans ma tête et dans mon cœur. Tant de changements se sont opérés dans mes sentiments. Je savais que partir comme cela allait « me changer » comme m’avait averti une personne avisée. Yoyo, ce gentleman à l’autre bout de la France par apport à ma ville, que je ne connais que par internet, mais qui pourtant m’a tant appris par son altruisme, et qui m’a tant apporté ne serait-ce qu’à travers ses jolis mails, ses conseils, ses encouragements. Et puis…
Une réelle grande surprise par la ré apparition d’un membre de ma famille qui pour moi était considérée comme morte. Quel « hasard » que cela arrive juste au moment de mon tour du monde… Quel hasard??? Mais il y a-t-il seulement un hasard?…
J’ai subit aussi des changements physiques. Un petit coup de vieux autour de mes yeux, soleil oblige? Allez on y croit. Trois couleurs de cheveux! Bruns, à la racine(ma couleur), châtain clair pour le reste, toujours le soleil, et enfin pas mal de blanc, pour la vieillerie qui arrive!!! Là aussi, obligée d’y croire!
Des kilos et de la masse musculaire en moins, mais aussi une fatigue générale dû à des nuits courtes et inconfortables.
Bilan de ces 4 mois révolus:
Je change de continent. L Amérique latine m’attend.
Je continue donc ma route. Et je continuerais bien encore et encore. Faire comme Omar, ce Monsieur que j’ai rencontré en Nouvelle Zélande et qui voyage depuis deux ans à travers le monde, en travaillant à droite à gauche pour financer sa route.
Mais je n’ai pas dit mon dernier mot. Je reviens dans 5 mois, pour mon fils qui a encore besoin de sa maman, et qui me manque tant. Pour ma fille avec qui je dois retrouver une autre complicité. Celle de femme à femme, continuer d’être sa confidente. La protéger grâce à mon expérience, mais pas trop, afin de lui laisser faire les siennes.Et bien sure pour mes frères, mes cousins et vous mes amis.
Refaire un tour du monde? je ne pense pas. Mais des voyages de 3 voir 4 mois? Why not???
15 commentaires:
voilà mes amis le dernier récit. Je viens de relire tous les récits sur la new zeland. Que de fautes!!!! désolée de ne pas les avoir toutes vu. Mais j'avoue que l'écriture sur clavier me fait oublier les reflexes de l'écriture manuelle, c'est à dire la mémoire kinéstesique. Mais vous ne m'en voudrez pas hein????
demain le chili où Nicole m'attend. Je vous embrasse.
le bilan de ces 4 mois font apparaitre une nouvelle valerie, d'ores et déjà tu as changé .plus riche, plus mure,plus profonde dans son approche de la vie;
pour ma part, je vais me sentir petite, immature, pour tout dite intimidée, impressionnée et me demander : et moi qu'ai-je fait ?????tenter de rendre heureux les gens autour de moi, moi ???? tout petit cercle......petite vue, petites actions. j'avoue que tout cela me fait réfléchir .
tu vois valou, tu agis aussi sur nous. je t'en remercie.
ta vague d'émotions arrive jusqu'ici.
à demain, au chili..........
Récit très poignant... dans ton analyse, tu nous donnes énormément à réfléchir sur nous-mêmes aussi... cette aventure, nous la vivions avec toi ! Merci pour tout ce que tu nous offres, culturellement, intellectuellement, visuellement et émotionnellement.
Tendres bisous ma caille, je t'♥ fort, bon voyage pour le Chili.
Bahhh tu me connais ma Valou, tu sais que lors de la distribution des mots, on a oublié de me donner le mode d'emploi et que je ne suis pas très à l'aise avec leur utilisation, alors je vais faire court, juste envie de te dire ma grande admiration pour ce que tu fais,c'est géant, tes récits sont poignants !! merci pour ces beaux moments d'émotion qui obligent à regarder autre chose que soi meme!!
gros bisous
Joss
Quelle belle déclaration d'amour à ts ceux qui te st chers mais aussi à la vie.Et quelle philosophe tu es!!!Bravo pour l'enrichiissement intellectuel,affectif et humain....Je partage bp de tes ressentis et visions sur le politiquement correct,le politique tt court et plein d'autres choses...Et comme le chantait notre cher Gabin:"je sais ...que l'on ne sait rien...".Comment peut-on avoir des certitudes en ce bas-monde???Tt ce qu'on peut faire c'est se remettre en question en permanence et ce n'est pas chose aisée,c'est comme si on marchait sur des sables mouvants;les certitudes st tellement + rassurantes,+ confortables...Allez sur ces pensées plilosophiques,Ivana te fait de gros bisous.
tout ce que tu dis combien de fois je l'ai pensé aussi...l'aventure que tu vis te fait grandir, intellectuellement, humainement, même si elle est difficile à vivre parfois, quelle avancée....moi, je t'avoues, j'ai souvent pensé à partir mais le courage m'a manqué. et comme le dit une autre personne, je m'interroge souvent quant à la vie que je mène, que j'ai mené, est-ce une vie?, les jours passent et c'est tout? le bonheur qu'est-ce??? bref, tu vois, on en pose beaucoup de questions sans réponse....je pense bien à toi.
Bises
Martine
J'aime ce récit sincère, tout simplement...
Bonjour Valérie,
J'ai pris connaissance de ton blog et lu la plupart des récits. Quelle merveilleuse aventure, je devrai plutôt dire " Quelle admirable aventurière" je suis scotché. Il faut une sacrée dose de courage pour tout lâcher et entreprendre un si long voyage. Je m'incline devant la femme (Valérie) qui en a, me penche encore et salue l'audacieuse risque-tout. Bonne continuation et prends soin de ta personne. Avec admiration.
Jean-Claude Roméra.
Je suis très heureuse de voir que ce voyage te rapproche autant de ta famille et qu'il t'apporte toutes ces richesses ! C'est vraiment ce que je te souhaitais !
Il faut parfois prendre du recul pour voir tout le bonheur qui nous entoure.
Gros gros bisous
PS: moi pas être d'accord pour que tu prolonges de 2 ans ! Toi manquer à moi! Alors toi revenir dans 5 mois : pas plus !!!
2 citations pour répondre à ton passage sur le hasard
- Le destin met beaucoup de hasard dans son jeu
- Le hasard est une loi qui voyage incognito
(proverbe arabe)
Bisous et attention aux Chiliens, ils sont irrésistibles. Lol !!
Hello you,
hé bien laisse beton la verdure!mais que de femmes dans ce blog. Super, tu vois que la difficulté laisse des souvenirs, des empreintes dans la tete meme, sinon ailleurs aussi. Les voyages forment l'esprit plus que la jeunesse sinon d'esprit, bravo vous, pour ce que tu fais, tu oses, tu entreprends, tu cherches et encore et encore, et ce n'est pas fini. Je te souhaite d'autres emmerdes, petits problemes et tant pis s'il n'y a que ça qui forme et
forge et bien passons par la.
Tu nous as fais un tour de philo, un autre de joie, un autre sur la famille et les amis, encore un autre sur la politique (?) comme un coup de gueule a toi pour ici et de loin. Hé bien que t'arrive t'il, te pousse t'il quelques choses dans le dos, que tu t'en sens plus legere, plus forte ?
Chere Vali, moi comme toutes autres dans ce blog, suis et sommes heureux de ta petite personne nouvelle. Vas et fais ta route, ne te relache pas, pas encore tu as de nouvelles histoires a nous conter sur un pays qui nous reste imaginaire encore.
Je t'embrasse d'ici la, comme bise aux autres aussi
Un grand merci pour tous ces beaux et sinceres messages. je suis d autant plus emue qu en ecrivant ce bilan, je n aurai pense vous faire ressentir a ce point ce que moi meme je ressentais. j en suis fort heureuse... merci d avoir partage votre emotion, tout comme je partage les miennes...merci... je suis au Chili avec Nicole. Je ne puis me connecter avec mon ordi. je posterai photos et recits des que possible. Demain direction valparaiso apres ces deux jours a Santiago. Enormes bises a toutes et a toi saad. Au fait soyez gentil de mettre vos vrai prenoms et noms. Qui est M fuine???
heu Mwfuin???
ola manuelo will i a am!!!! big bisous non offensés.
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