Cucao. Le bout du monde.
deux jours au fin fond du cul de l’ouest de l’île de Chiloé!
Pour vous résumer ici c’est tout simplement non pas de l’autre côté du monde comme la New Zéland, mais AU BOUT du monde. Et je vous assure que c’est sans exagération toute marseillaise que je suis.
Tout d’abord je dois vous dire que Nicole a fait très fort en quittant la ville de Castro. Cette gente dame cherchant une poste pour son courrier, est allée demander son chemin non pas a un autochtone, mais à une chinoise. Inutile de vous dire que la madame était quelque peu surprise et embarrassée de ne pouvoir là renseigner. Quand à moi, je riais aux éclats de voir cette pauvre chinoise en train d’expliquer à Nicole qu’elle n’était pas d’ici. Apparemment Ma caille n’avait pas les yeux en face des trous ce matin là.
Nous avons pris un bus qui nous a donc emmené à Cucao. Et la, mes amis, même si ce n’est que la porte de la Patagonie, cela y ressemble étrangement. Le bus nous a déposé en bordure de route par une pluie diluvienne. Nous avions l’adresse d’une hospedaje que nous avait conseillé une employée du centre d’infos touristique de Castro. Nos valises étant sur le toit, mais malgré tout pas mouillées car le conducteur avait pris soin de bâcher, le temps de marche entre le bus et l’hôtel a eu raison de mon pauvre bagage. Et ce, sur une marche de seulement 20 mètres. Nous avons frappé à la portes et sommes entrées complètement trempées jusqu’aux os. Le maître des lieux nous a montré notre chambre, ainsi que la ‘’salle de bain’’, dans le couloir, à partager. Et là…grand moment de solitude…trempée, dans ce que l’on appelle une chambre, minuscule,(les deux valises ne rentraient pas), des murs sales, un semblant de fenêtre bancale, et surtout une salle de bain avec une robinetterie complètement rouillée. J’avais l’impression d’être retournée en Inde!!! Je me suis demandée ce que je foutais là, même si depuis le début du voyage nous nous farcissons des literies pas top. Et puis, marre de ce temps pourri depuis plusieurs jours. Je dis à Nicole: ‘’ha non! Je ne reste pas! JE ME CASSE! ‘’
Sauf que ce n’était pas sans compter la pluie diluvienne. J’étais super en colère, d’autant plus que je n’avais, à la base pas envie de venir ici. Mais Nicole très calme, et heureusement car une autre comme moi, ça ne l’aurait pas fait, m’a répondu: ‘’ok si tu veux on repart, je reviendrais plus tard’’. Là j’ai compris l’absurdité de ma colère. Car ma caille, tout comme moi, supportait ce temps pourri (sauf une journée à Castro), plus la pluie dans le bus, pour elle, les fesses d’un gros chilien collées à notre siège, pour moi, car étant debout, il se maintenait comme il pouvait dans le bus bondé. Notre journée avait mal commencé. Nous sommes donc restées car nous ne pouvions faire autrement. La chambre, sans être cher pour nous touristes (11 euros la nuit), était toutefois cher pour ce que c’était et dans l’endroit paumé que c’était. De plus, nous n’avions pas de clé pour fermer la porte. Quelques heures après avoir séché vêtements et valise dans la salle à manger où se trouvait un seul et unique petit poêle pour chauffer la maison, un timide rayon de soleil faisant son apparition, nous décidâmes d’aller à la conquête d’une autre hospedaje dont parlait le guide. Une vieille dame nous accueillit sur le pas de la porte comme si nous étions des voleuses, ne voulant pas nous faire visiter au moins une chambre, pour constater par nous même si la petite augmentation du prix valait le coup de déménager pour le lendemain. Mais l’endroit où nous étions paraissait si glauque, et il faisait si froid, que nous avons réservé pour le lendemain, nous disant que ce ne pouvait être pire. Rentrées à notre hôtel, nous avons fait, durant notre diner, la connaissance de trois messieurs chiliens forts sympathiques. Nous avons discuté politique du chili. Mais que dis je!!! Nicole a discuté pendant que moi j’écoutais. Mais je comprenais pas mal de choses. Et nous avons compris que l’île de Chiloé était principalement habitée par les mapuches. Premiers habitants du chili avant l’invasion des espagnols. Et tout comme en Australie, et en Nouvelle Zélande, ces indiens sont relégués aux plus basses besognes depuis des années, après s’être fait volé les terres. Il y a un grand racisme entre chiliens espagnoles et mapuches. Résultat des courses, dans n’importe quel pays colonisé, les premiers arrivés sont les premiers opprimés.
Le lendemain, arrivées à la nouvelle hospedaje, nous avons eu la grande joie d’être sauvées par un beau belge blond aux yeux bleus. Et oui, sauvées. Car Nicole, vous savez celle qui demande son chemin aux chinois au chili? Et bien cette Nicole là a eu l’heureuse idée de fermer sa valise avec son cadenas, mais en laissant la clé de celui-ci… dans la valise!!!
Et ce beau belge qui résidait également dans cet endroit, avec une perceuse électrique, a réussi à ouvrir mister cadenas. Ouf… La Nicole a économisé une nouvelle valise. Et en plus dans ce trou du…enfin vous avez compris, des valises??? Bon dieu comme il était charmant cet homme en plus. Il nous informa qu’il était ingénieur et travaillait depuis plusieurs mois dans ce bled avec une jeune équipe de géologues, afin d’étudier les éventuels prochains tremblements de terre et tsunamis. Nous ayant au préalable invité à manger avec eux pour le soir, il nous quitta pour aller bosser. Bon…moi j’étais sous le charme. Nicole se moquait de moi bien sûr. Mais tout cela c’est de la palabre. Et si je vous racontais ce si joli endroit. Et bien,
sachez avant tout que sur l’île de Chiloé nous roulons principalement sur la mythique Panaméricaine qui justement commence d’ici pour se terminer au Canada. Nous traversons de très jolis villages dont l’architecture de maisons de bois, et de tôles avec ses jardins d’hortensias à l’anglaise nous rappelle qu’il n’y a pas si longtemps les pionniers arrivaient à la conquête du pays.
Quant à Cucao, petit bourg à l’extrême ouest de l’île. Son océan pacifique couleur de plomb avec ses larges baies aux eaux lisses, mais aussi couleur d’écume blanche lorsqu’il s’énerve. Ses grandes plages de dunes de sable anthracite et d’amas de verdure introuvable ailleurs, et que vaches moutons et chevaux sauvages adorent. Ce petit bout de terre de fin du monde nous a tout simplement ravies malgré son temps plus que capricieux, et ses hospidajes spartiates.
La Patagonie chilienne et les terres australes ne sont pas une mince affaire à traverser. Nous sommes dans le sud, mais au Chili comme en Argentine la simple histoire de géographie prend ici tout son sens. Dans ces deux pays tout est inversé. Le sud devient synonyme de pluie, de vent, de froid, tandis qu’au nord, c’est le soleil, le chaud, le sec. Nous avons cheminé ces derniers jours de villages en villages, abandonné la Panaméricaine pour des chemins caillouteux, en zig zag, tels des oiseaux migrateurs vers le bout du monde. Et quelle beauté ce bout du monde…
Les jolies filles chiliennes que j’ai vu en mini jupe et jolis décolletés dans le nord, sont ici emmitouflées de bonnets, de gants et de gros anorak.
Ayant visité le parc national à pied, nous avons retrouvé sur le retour notre beau blond qui nous a baladé dans des endroits que nous n’aurions pu admirer en étant à pied. ‘’el lago huerde’’ et la plage des pêcheurs de coquillages. dans cette ambiance de bout du monde, les lourds nuages gris et le vent, avaient finis de nous intimider malgré leur violence.
Nous sommes retournées à l’hôtel où nous avons fait connaissance avec un jeune couple de Toulouse venu en vacance pour deux mois. Après avoir bu un apéro avec eux, un pisco fait maison qui avait bien macéré durant plusieurs jours, nous rejoignîmes l’équipe de géologues dans un charmant resto style chalet, tenu par une allemande qui vivait ici depuis 20 ans par amour pour un chilien. Evidement, re pisco. Le repas fût succulent. Je mangeait une choucroute à la chilienne, c’est-à-dire sans charcuterie mais avec de la viande et des légumes. Tandis que Nicole se régalait avec du poisson. Bien sur tout cela accompagné de deux bonnes bouteilles de vin chilien. J’étais tout simplement ‘’décalquée’’ par mes quatre verres d’alcool n’ayant pas l’habitude, et encore moins de faire des mélanges. Les discutions allaient bon train. La soirée était vraiment parfaite, malgré ma déception d’avoir appris que mon beau belge était papa d’une petite fille de huit mois, et qu’il avait hâte de retrouver ses femmes. Et oui… madame Prior ne serait pas fière de moi, hein Cathou?
deux jours au fin fond du cul de l’ouest de l’île de Chiloé!
Pour vous résumer ici c’est tout simplement non pas de l’autre côté du monde comme la New Zéland, mais AU BOUT du monde. Et je vous assure que c’est sans exagération toute marseillaise que je suis.
Tout d’abord je dois vous dire que Nicole a fait très fort en quittant la ville de Castro. Cette gente dame cherchant une poste pour son courrier, est allée demander son chemin non pas a un autochtone, mais à une chinoise. Inutile de vous dire que la madame était quelque peu surprise et embarrassée de ne pouvoir là renseigner. Quand à moi, je riais aux éclats de voir cette pauvre chinoise en train d’expliquer à Nicole qu’elle n’était pas d’ici. Apparemment Ma caille n’avait pas les yeux en face des trous ce matin là.
Nous avons pris un bus qui nous a donc emmené à Cucao. Et la, mes amis, même si ce n’est que la porte de la Patagonie, cela y ressemble étrangement. Le bus nous a déposé en bordure de route par une pluie diluvienne. Nous avions l’adresse d’une hospedaje que nous avait conseillé une employée du centre d’infos touristique de Castro. Nos valises étant sur le toit, mais malgré tout pas mouillées car le conducteur avait pris soin de bâcher, le temps de marche entre le bus et l’hôtel a eu raison de mon pauvre bagage. Et ce, sur une marche de seulement 20 mètres. Nous avons frappé à la portes et sommes entrées complètement trempées jusqu’aux os. Le maître des lieux nous a montré notre chambre, ainsi que la ‘’salle de bain’’, dans le couloir, à partager. Et là…grand moment de solitude…trempée, dans ce que l’on appelle une chambre, minuscule,(les deux valises ne rentraient pas), des murs sales, un semblant de fenêtre bancale, et surtout une salle de bain avec une robinetterie complètement rouillée. J’avais l’impression d’être retournée en Inde!!! Je me suis demandée ce que je foutais là, même si depuis le début du voyage nous nous farcissons des literies pas top. Et puis, marre de ce temps pourri depuis plusieurs jours. Je dis à Nicole: ‘’ha non! Je ne reste pas! JE ME CASSE! ‘’
Sauf que ce n’était pas sans compter la pluie diluvienne. J’étais super en colère, d’autant plus que je n’avais, à la base pas envie de venir ici. Mais Nicole très calme, et heureusement car une autre comme moi, ça ne l’aurait pas fait, m’a répondu: ‘’ok si tu veux on repart, je reviendrais plus tard’’. Là j’ai compris l’absurdité de ma colère. Car ma caille, tout comme moi, supportait ce temps pourri (sauf une journée à Castro), plus la pluie dans le bus, pour elle, les fesses d’un gros chilien collées à notre siège, pour moi, car étant debout, il se maintenait comme il pouvait dans le bus bondé. Notre journée avait mal commencé. Nous sommes donc restées car nous ne pouvions faire autrement. La chambre, sans être cher pour nous touristes (11 euros la nuit), était toutefois cher pour ce que c’était et dans l’endroit paumé que c’était. De plus, nous n’avions pas de clé pour fermer la porte. Quelques heures après avoir séché vêtements et valise dans la salle à manger où se trouvait un seul et unique petit poêle pour chauffer la maison, un timide rayon de soleil faisant son apparition, nous décidâmes d’aller à la conquête d’une autre hospedaje dont parlait le guide. Une vieille dame nous accueillit sur le pas de la porte comme si nous étions des voleuses, ne voulant pas nous faire visiter au moins une chambre, pour constater par nous même si la petite augmentation du prix valait le coup de déménager pour le lendemain. Mais l’endroit où nous étions paraissait si glauque, et il faisait si froid, que nous avons réservé pour le lendemain, nous disant que ce ne pouvait être pire. Rentrées à notre hôtel, nous avons fait, durant notre diner, la connaissance de trois messieurs chiliens forts sympathiques. Nous avons discuté politique du chili. Mais que dis je!!! Nicole a discuté pendant que moi j’écoutais. Mais je comprenais pas mal de choses. Et nous avons compris que l’île de Chiloé était principalement habitée par les mapuches. Premiers habitants du chili avant l’invasion des espagnols. Et tout comme en Australie, et en Nouvelle Zélande, ces indiens sont relégués aux plus basses besognes depuis des années, après s’être fait volé les terres. Il y a un grand racisme entre chiliens espagnoles et mapuches. Résultat des courses, dans n’importe quel pays colonisé, les premiers arrivés sont les premiers opprimés.
Le lendemain, arrivées à la nouvelle hospedaje, nous avons eu la grande joie d’être sauvées par un beau belge blond aux yeux bleus. Et oui, sauvées. Car Nicole, vous savez celle qui demande son chemin aux chinois au chili? Et bien cette Nicole là a eu l’heureuse idée de fermer sa valise avec son cadenas, mais en laissant la clé de celui-ci… dans la valise!!!
Et ce beau belge qui résidait également dans cet endroit, avec une perceuse électrique, a réussi à ouvrir mister cadenas. Ouf… La Nicole a économisé une nouvelle valise. Et en plus dans ce trou du…enfin vous avez compris, des valises??? Bon dieu comme il était charmant cet homme en plus. Il nous informa qu’il était ingénieur et travaillait depuis plusieurs mois dans ce bled avec une jeune équipe de géologues, afin d’étudier les éventuels prochains tremblements de terre et tsunamis. Nous ayant au préalable invité à manger avec eux pour le soir, il nous quitta pour aller bosser. Bon…moi j’étais sous le charme. Nicole se moquait de moi bien sûr. Mais tout cela c’est de la palabre. Et si je vous racontais ce si joli endroit. Et bien,
sachez avant tout que sur l’île de Chiloé nous roulons principalement sur la mythique Panaméricaine qui justement commence d’ici pour se terminer au Canada. Nous traversons de très jolis villages dont l’architecture de maisons de bois, et de tôles avec ses jardins d’hortensias à l’anglaise nous rappelle qu’il n’y a pas si longtemps les pionniers arrivaient à la conquête du pays.
Quant à Cucao, petit bourg à l’extrême ouest de l’île. Son océan pacifique couleur de plomb avec ses larges baies aux eaux lisses, mais aussi couleur d’écume blanche lorsqu’il s’énerve. Ses grandes plages de dunes de sable anthracite et d’amas de verdure introuvable ailleurs, et que vaches moutons et chevaux sauvages adorent. Ce petit bout de terre de fin du monde nous a tout simplement ravies malgré son temps plus que capricieux, et ses hospidajes spartiates.
La Patagonie chilienne et les terres australes ne sont pas une mince affaire à traverser. Nous sommes dans le sud, mais au Chili comme en Argentine la simple histoire de géographie prend ici tout son sens. Dans ces deux pays tout est inversé. Le sud devient synonyme de pluie, de vent, de froid, tandis qu’au nord, c’est le soleil, le chaud, le sec. Nous avons cheminé ces derniers jours de villages en villages, abandonné la Panaméricaine pour des chemins caillouteux, en zig zag, tels des oiseaux migrateurs vers le bout du monde. Et quelle beauté ce bout du monde…
Les jolies filles chiliennes que j’ai vu en mini jupe et jolis décolletés dans le nord, sont ici emmitouflées de bonnets, de gants et de gros anorak.
Ayant visité le parc national à pied, nous avons retrouvé sur le retour notre beau blond qui nous a baladé dans des endroits que nous n’aurions pu admirer en étant à pied. ‘’el lago huerde’’ et la plage des pêcheurs de coquillages. dans cette ambiance de bout du monde, les lourds nuages gris et le vent, avaient finis de nous intimider malgré leur violence.
Nous sommes retournées à l’hôtel où nous avons fait connaissance avec un jeune couple de Toulouse venu en vacance pour deux mois. Après avoir bu un apéro avec eux, un pisco fait maison qui avait bien macéré durant plusieurs jours, nous rejoignîmes l’équipe de géologues dans un charmant resto style chalet, tenu par une allemande qui vivait ici depuis 20 ans par amour pour un chilien. Evidement, re pisco. Le repas fût succulent. Je mangeait une choucroute à la chilienne, c’est-à-dire sans charcuterie mais avec de la viande et des légumes. Tandis que Nicole se régalait avec du poisson. Bien sur tout cela accompagné de deux bonnes bouteilles de vin chilien. J’étais tout simplement ‘’décalquée’’ par mes quatre verres d’alcool n’ayant pas l’habitude, et encore moins de faire des mélanges. Les discutions allaient bon train. La soirée était vraiment parfaite, malgré ma déception d’avoir appris que mon beau belge était papa d’une petite fille de huit mois, et qu’il avait hâte de retrouver ses femmes. Et oui… madame Prior ne serait pas fière de moi, hein Cathou?
9 commentaires:
l'avant dernier récit sur Chiloé. pour les photos, commencer par le début. L'île de Chiloé.bisous!!!
Il faut vraiment être blindé(e) pour ce genre d'expédition,ton récit en témoigne!!
Dire qu'ici pour un peu de neige et qques degrés en moins,c'est l'affolement général!!on s'encroùte ,on s'embourgeoise...et ça se comprend,ça fait comme les enfants d'aujourd'hui tellement plus mis sous cloche que jadis...le moindre courant d'air,le moindre éffort à faire,relèvent de la performance!!Mais que de bonnes et belles rencontres et quel esprit de débrouillardise!!Respect Masdames et gros bisous d Ivana.
Et ce matin ,pour la 2ème fois en qques jrs ,je n'ai + une goutte d'eau et ai fait ma toilette et mon café avec une bouteille d'eau....Tu vois,sans être "au cul du loup",ici aussi on a parfois ses galères...qu'on prend avec humour bien sûr...On ne commande pas les conditions climatiques,et ds le sud,le manque d'adaptation des équipements face à ces baisses de température.
Bisous hivernaux d'Ivana.
ben dis donc Ivana toi aussi c'est l'aventura à Marseille! bon, je te donne une astuce. Quand tu as terminé ton cours de gym, prends la douche à la salle de sport. En revanche je ne sais pas si ce sera aussi propre que lorsque j'étais là!!! bon courage ma grande.
Et nous hier soir:
- lave-vaisselle en panne
- panne d'électricité
- un froid glacial !
Si tu nous avais vus... tous les 3 dans le lit, sous la couette, avec la bougie posée sur la table de nuit en train de manger ce qu'on pouvait !
Finalement, avec Ivana, on vit de sacrées aventures à Marseille !
bon ben les filles je ne sais pas si je vais rentrer avec tout ça...Marseille devient dangereux pour la santé!
Quoi ? Si si tu rentres à Marseille !!! D'ailleurs en juin, un beau soleil t'attendra ainsi que la piscine, les soirées à l'abri-côtier, les bonnes bouffes à la maison et le camembert !
Bisous bisous .......L'Amérique latine te va bien !!!!!! merci pour les photos et les commentaires qui nous tiennent au fait de ta bonne santé et tout et tout .J'espère que tu auras ce message Répond moi si tu l'as !! car je t'en envoie plein et ????? Ici C'est le vrai hiver depuis 10 jours un mistral d'enfer comme on en fait plus tout à geler partout L'école le mobile home de Roxane bref ...A plus ma puce Je t'aime Ellvie
coucou ma Elvie. J'ai bien reçu ce message. Mais j'avoue que je ne reçevais plus tes com depuis un bon moment. d'où mon intervention sur facebook demandant d tes news.Je te fais de grosses bises.
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