Le 2 fevrier
Vous voici depuis deux jours sur l’île de Chiloé. Longue d’environ 180 km sur 50 de large. Cette île au climat rude et pluvieux, mène une existence en communion totale avec la mer. On y mange des énormes huitres et moules, ainsi que du poisson délicieux. Des bateaux de pêche par milliers. Mais aussi de jolis moutons qui ressemblent à ceux croisés en Irlande, des vaches bien sûr, une sorte de cygnes à la tête et au cou noir, des rapaces, et une flore très dense dispersé dans le golf, riche de sa quarantaine de petites îles.
Toutefois, une autre richesse habite Chiloé . Ses maisons typiques aux toits bien particuliers et ses murs de bois de couleurs vives, comme des écailles de poissons. Et à Castro, la plus grande ville, et la plus animée de l’île, ses pallafitos. Maisons sur pilotis que l’on découvre à marée basse. Et ne comptons pas ses 50 superbes églises dont quelques unes classées par l’Unesco.
Nous nous attendions tout comme à Puerto varas à trouver de la pluie. Or un timide soleil nous accueilli à notre arrivée. Nous avons même sorti les lunettes de soleil! Evidement nous sommes alpaguées par des mamas à la sortie du bus pour trouver une pension de famille, pas terrible au demeurant. Nous avons visité la ville de Castro, non sans avoir au préalable cherché un resto faisant comme sur le continent, des menus à 2000 pesos. Et comme nous avions eu l’heureuse idée de proposer à une jeune fille partageant nos appartements de venir avec nous, nous n’avons pu manger à notre faim, ni correctement. Simplement parce que des menus à 2000 pesos sur l’île il n’y en a pas, mais surtout parce qu’elle ne voulait pas manger pour plus, faisant encore plus attention à sa tirelire que moi. Résultat, nous avons mangé une simple empanadas, qui m’est resté sur l’estomac, et Nicole qui mourrait de faim car nous n’avions pas petit déjeuné, s’est rabattue sur un club sandwich dans un bar lorsque nous avons quitté la gente demoiselle qui en définitive nous a bien ’’gonflé’’. Cela nous apprendra à vouloir être polie!
L’église de Castro, de style néo gothique nous a enchanté par sa confection faite de bois du pays autant à l’extérieur qu’à l’intérieur. Un vrai petit bijoux. Normalement sa couleur originelle était saumon avec ses clochers violets. Mais elle s’est bien délavée par le vent et surtout la pluie.
Ce matin nous avons pris, bus et bateau dans la ville de Decahue pour nous rendre sur une autre petite île du nom de Quinchao. Là encore, des paysages de marées basses où se sont, comme échoués, les bateaux de pêches, mais aussi les oiseaux. Et au détour de la visite, une petite rue avec de très jolies maisons typiques donnant vue sur la plage.
D’autres petits trajets en bus, pour d’autres petits villages, pour d’autres très jolies panoramas.
Puis retour sur l’île de Chiloé où nous nous arrêtons dans la petite ville de Quemchi afin d’y admirer au loin la chaîne de montagnes aux cimes enneigées du sud du Chili. Un ravissement pour les yeux.
Retour à Castro pour manger un bon plat de viande et de frites délicieuses, Non sans avoir goûté la veille au soir un gros plat de fruits de mer, qui m’a valu une belle ‘’courante’’ cette après midi pour m’être gavée de moules entre autre. La première en 5 mois!
Quand à mon genoux, celui-ci es toujours autant douloureux. Je me ménage donc des petits temps de repos, par exemple lorsqu’ il y a de la grimpette, s’est Nicole qui s’y colle (elle porte bien son prénom hein?…) pour faire la photographe. En attendant elle a bien du mérite de me trainer. Et en plus comme je dois faire gaffe aux finances, elle est obligée de me suivre pour prendre des pensions de famille pas cher. Alors qu’elle pourrait être dans des endroits plus confortables. Alors en passant comme ça sur le blog…et bien merci ma caille de supporter mon genoux et mes hôtels aux lits défoncés. Cette fois ci le boulet c’est moi!!! Vivement l’île de Pâques où tu pourras enfin te reposer et surfer comme bon te semble. Hé oui, ma caille se taille là bas après. La veinarde. J’aurai dû prendre cette destination aussi dans mon tour du monde. J’ai hésité car très cher. Mais je n’ai pas dit mon dernier mot! Allez savoir…un coup de folie et je prends un avion….
Vous voici depuis deux jours sur l’île de Chiloé. Longue d’environ 180 km sur 50 de large. Cette île au climat rude et pluvieux, mène une existence en communion totale avec la mer. On y mange des énormes huitres et moules, ainsi que du poisson délicieux. Des bateaux de pêche par milliers. Mais aussi de jolis moutons qui ressemblent à ceux croisés en Irlande, des vaches bien sûr, une sorte de cygnes à la tête et au cou noir, des rapaces, et une flore très dense dispersé dans le golf, riche de sa quarantaine de petites îles.
Toutefois, une autre richesse habite Chiloé . Ses maisons typiques aux toits bien particuliers et ses murs de bois de couleurs vives, comme des écailles de poissons. Et à Castro, la plus grande ville, et la plus animée de l’île, ses pallafitos. Maisons sur pilotis que l’on découvre à marée basse. Et ne comptons pas ses 50 superbes églises dont quelques unes classées par l’Unesco.
Nous nous attendions tout comme à Puerto varas à trouver de la pluie. Or un timide soleil nous accueilli à notre arrivée. Nous avons même sorti les lunettes de soleil! Evidement nous sommes alpaguées par des mamas à la sortie du bus pour trouver une pension de famille, pas terrible au demeurant. Nous avons visité la ville de Castro, non sans avoir au préalable cherché un resto faisant comme sur le continent, des menus à 2000 pesos. Et comme nous avions eu l’heureuse idée de proposer à une jeune fille partageant nos appartements de venir avec nous, nous n’avons pu manger à notre faim, ni correctement. Simplement parce que des menus à 2000 pesos sur l’île il n’y en a pas, mais surtout parce qu’elle ne voulait pas manger pour plus, faisant encore plus attention à sa tirelire que moi. Résultat, nous avons mangé une simple empanadas, qui m’est resté sur l’estomac, et Nicole qui mourrait de faim car nous n’avions pas petit déjeuné, s’est rabattue sur un club sandwich dans un bar lorsque nous avons quitté la gente demoiselle qui en définitive nous a bien ’’gonflé’’. Cela nous apprendra à vouloir être polie!
L’église de Castro, de style néo gothique nous a enchanté par sa confection faite de bois du pays autant à l’extérieur qu’à l’intérieur. Un vrai petit bijoux. Normalement sa couleur originelle était saumon avec ses clochers violets. Mais elle s’est bien délavée par le vent et surtout la pluie.
Ce matin nous avons pris, bus et bateau dans la ville de Decahue pour nous rendre sur une autre petite île du nom de Quinchao. Là encore, des paysages de marées basses où se sont, comme échoués, les bateaux de pêches, mais aussi les oiseaux. Et au détour de la visite, une petite rue avec de très jolies maisons typiques donnant vue sur la plage.
D’autres petits trajets en bus, pour d’autres petits villages, pour d’autres très jolies panoramas.
Puis retour sur l’île de Chiloé où nous nous arrêtons dans la petite ville de Quemchi afin d’y admirer au loin la chaîne de montagnes aux cimes enneigées du sud du Chili. Un ravissement pour les yeux.
Retour à Castro pour manger un bon plat de viande et de frites délicieuses, Non sans avoir goûté la veille au soir un gros plat de fruits de mer, qui m’a valu une belle ‘’courante’’ cette après midi pour m’être gavée de moules entre autre. La première en 5 mois!
Quand à mon genoux, celui-ci es toujours autant douloureux. Je me ménage donc des petits temps de repos, par exemple lorsqu’ il y a de la grimpette, s’est Nicole qui s’y colle (elle porte bien son prénom hein?…) pour faire la photographe. En attendant elle a bien du mérite de me trainer. Et en plus comme je dois faire gaffe aux finances, elle est obligée de me suivre pour prendre des pensions de famille pas cher. Alors qu’elle pourrait être dans des endroits plus confortables. Alors en passant comme ça sur le blog…et bien merci ma caille de supporter mon genoux et mes hôtels aux lits défoncés. Cette fois ci le boulet c’est moi!!! Vivement l’île de Pâques où tu pourras enfin te reposer et surfer comme bon te semble. Hé oui, ma caille se taille là bas après. La veinarde. J’aurai dû prendre cette destination aussi dans mon tour du monde. J’ai hésité car très cher. Mais je n’ai pas dit mon dernier mot! Allez savoir…un coup de folie et je prends un avion….
8 commentaires:
premier récit sur Chiloé. Les photos plus tard car très long sur l'île. biiiises!
ola senorita! que tal!j'ai aussi un excelent souvenir de chiloé. puis du vyage en bateau de puerto mont a cohiahique avant de descendre vers la patagonie. mais il va peut etre faire froid. moi je l'avais fait en plein été en janvier.bon voyage
hata la vista
Le chilien ! En photo !!!
Super nicole fait des économies ça c'est génial pour un super resto boutiques à bandol à son retour tout sacrifice trouve sa récompense 😝bisous à toutes les 2 christine
skype ?
t'affole pas tetram c'est jm
skype ?
toi aussi yoyo tu connais le chili? mais tu as encore d'autres secrets comme cela? Cathou sorry mais pas de beaux chiliens en photos. Mais quand même des mapuches pour la prochaine fois.Christine, la nicole va tout dépenser à l'île de pâque qui est hors de prix!!! elle angoisse à l'avance quand elle voit le prix des chambres d'hôtel! tu repasseras pour Bandol!!!lol du moins tu peux tjrs l'inviter!
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